Ce deuxième volume poursuit également la volonté présente dès le volume I, de donner une dimension anthologique à cette actualisation de la pensée critique. Il regroupe ainsi de nombreux auteurs, tant francophones que non-francophones (l’ouvrage comporte de nombreux textes inédits en français), participant de courants et/ou des générations multiples qui nous semblent maintenant essentiels de mettre en relation, en situation de dialoguer pour penser l’histoire du temps présent et la crise contemporaine historique dans toute l’épaisseur de sa complexité.
Illusio | Théorie critique de la crise. Du crépuscule de la pensée à la catastrophe |
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Robert Kurz | L’industrie culturelle au XXIe siècle. De l’actualité du concept d’Adorno et Horkheimer |
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Jordi Maiso | Vaine répétition ? L’industrie culturelle, hier et aujourd’hui |
Jean-Marc Lachaud | L’École de Francfort et sa critique de l’industrie culturelle, quel héritage ? |
Jan Spurk | Le combat quotidien contre la liberté. De la culture de masse et de l’industrie culturelle |
Olivier Voirol | L’industrie culturelle comme diagnostic historique |
Martin Benoist, Ronan David et Fabien Lebrun |
La nuit industrielle. Essai sur la fête contemporaine |
Gerard Briche | Art et modernité. Adorno et le projet critique de l’École de Francfort |
Timothée Haug | De la reproduction médiatique à l’abstraction marchande. Essai sur une réactualisation de la Théorie critique des médias à l’ère du numérique |
Nicolas Coulmain | Le livre numérique. De l’émancipation à l’assujetissement |
Laurent Plet | La langue contre la langue, tentative de sauvetage |
Marc Jimenez | L’éclipse de la pensée |
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Orietta Ombrosi | Lamentation et résistance : la non-résignation de la philosophie et le « triste savoir » d’Adorno face à la Catastrophes |
Katia Genel | École de Francfort et politique : la place de Marcuse entre Horkheimer, Adorno et Neumann |
Alex Demirovic | Le texte théorique comme geste. De la performance dans les textes de la première Théorie critique |
Gabriel Zacarias | Eros et civilisation dansLa Société du spectacle: Debord Lecteur de Marcuse |
Christoph Wulf | Critique et réflexivité : une tâche pour l’éducation et la formation. La signification de l’École de Francfort pour les sciences de l’éducation |
Alain-Patrick Olivier | La réception d’Adorno dans les institutions françaises d’enseignement : musicologie, sociologie, métaphysique |
Andreas Gruschka | L’Aufklärung pédagogique d’après AdornoSuivi de Théorie critique de la pédagogie |
Nicolas Oblin | L’école à l’épreuve de la rationalité contemporaine. Quelle place pour la pensée ? |
Patrick Vassort | Connaissance, mémoire, humanité ou la rationalité instrumentale de l'Université industrielle |
Florent Perrier | Innervation critique de l’utopie. Du jeu dans les marges (de la Théorie critique)e |
Günther Anders | Contre un nouveau et définitif Nagasaki |
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Christophe David | Günther Anders, un « outsider » de la Théorie critique |
Georges Zimra | Les dérives de la raison calculante |
Andrew Feenberg | La médiation est le message. Rationalité et pouvoir dans la Théorie critique de la technologie |
Michael Löwy | Walter Benjamin, critique du progrès |
Guillaume Carnino | Généalogie de l’informatique. Commensurabilité et quantification, autonomisation et instrumentalisation |
Clément Hamel | Un monde sous-humain. Critique de la vie robotisée |
Herbert Marcuse | Écologie et critique de la société moderne. Suivi de Révolution et écologiee |
Claus Peter Ortlieb | Au pied du mur. De l’origine commune aux crises écologique et économique |
Olgaria Matos | La Nature et l’Homme. Dé-limites de la raison et épuisement éthique |
Jean-Marc Durand-Gasselin | La crise de la nature humaine, le cerveau et l’École de Francfort |
Rolf Wiggershaus | « Liberté dans le cadre de la nature ». Éléments d’une Théorie critique de la nature |
Norbert Trenkle | Critique de l’Aufklärung. Huit thèses |